11 mai 2022
Ondine à la lumière d'une fenêtre
Avec pour seul éclairage la lumière de la fenêtre, une petite série avec Ondine, en mode "charme soft"...
Je trouve cette fille tellement belle que je n'ai pas su en éliminer plus, je les aime toutes !
Pour voir les numéros des photos et me dire vos préférences si vous en avez il faut cliquer dessus. ;)
Ces photos ont été réalisées dans le cadre d'un workshop en Ardèche. Merci à Michel pour l'organisation.
Et bien sûr merci Ondine. Le lien de son compte Instagram
Je vous laisse avec Ondine et son livre pour quelque temps. D'ailleurs que lit-elle d'après vous ?
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Je fais une petite pause le temps de finir mes plantations et de rattraper quelques retards.
Le jardin appelle très fort en ce moment ! Et je voudrais terminer avant la canicule.
A bientôt.
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Commentaires
Elle est sublime. Ton regard l'accompagne, quelle que soit la pose, quel que soit le geste. Impossible de choisir. Vous vous complétez. Et j'aime beaucoup son compte Insta, qui présente une plénitude féminine, une jouissance à être femme, en pleins et en déliés, en courbes et en contact, une féminité ouverte, sereine, tranquille. La féminité transcendée. Mais surtout, vraie ♥♥
Salut Sophie
Ce qui est vraiment troublant chez Ondine, c'est l'efficacité de ses regards qui, plus encore que ses poses, nous entraîne dans les univers vertigineux de sa pensée. La photo montre, mais c'est elle qui porte et emporte... Les photographies 7 et 9 ont ma préférence. La 7 où elle scrute le lointain semblant attendre une présence aimée sans que l'on sache si elle s'habille ou se déshabille. Et la 9 où s'exprime l'évasion de son esprit sous la complaisance d'une parcelle de réalité que sa main se prépare à effectuer en allant tourner la page. Là encore, sa pensée semble rejoindre quelqu'un d'indispensable à son cœur.
Bien à toi...Un bébé dans les bras
Je te suis dans ta difficulté de choisir et avoue ma préférence pour le côté "dépouillé" et naturel de la une. Je vois tout à fait la pose, l'attitude et le regard de la 6eme complétés par un bébé dans les bras. Je comprends le bonheur que tu ressens à participer à de tels ateliers. Je t'embrasse
La lumière du jour et ton talent suffisent à l'éclatante beauté d'Ondine.
Une série douceur pleine de charme.
Ondine rêve ...
"Et elle s'invente des voyages
Entre un fauteuil et un divan
D'eau de rose et de passion sage
Aussi pure que ses vieux romans
Aussi grand que celui qu'elle attend... " Jean-Jacques Goldman.
Bises
VéroniqueDe l'ombre à la lumière..un défi audacieux !..
Bonjour.
Je respecte beaucoup les photos de femmes nues (intégrales ou non..), comme "soft" en approche érotique(l'excitation "ludique" n'est pas un moindre mal, loin de là !..), sans être, ni jamais vouloir me prendre pour un certain David Hamilton(ni jamais !..), et pour ce que l'on a connu au travers, mais je trouve cependant "audacieux", pour une jeune femme, de se dévoiler, sans pudeur, connaissant la vindicte populaire et tous les détours qui en résultent, comme propos divers, voir même insultes à cet égard..
J'aurais plus de discrétion et respect, pour ne pas faire ni même surtout aller dans la "provocation" tout court..
Je trouve cette jeune femme fort belle (appréciation toute personnelle..), avec un air grimoire, et quelques ressemblance à Laetitia Casta, et pas que pour le grain de beauté (grain de "Milium" ou bouton d'acné..)..
Belle promo pour cette jeune femme talentueuse, tout comme continuation, avec ou sans casting.
Très bonne fin de journée à vous, un très bon weekend, avec le soleil de préférence (je prends mon petit-déjeuner dehors, à présent, derrière la maison et sur la terrasse, sous le cerisier, accompagné par le doux chant des oiseaux et gazouillis..), bon travail au jardin potager (je fais de même depuis quelques jours déjà..), à plus..Denis.De l'ombre à la lumière..un défi audacieux..rajout.
Re..désolé..
J'ai oublié de "compléter" pour le livre et la lecture pour "Ondine"..
Elle lit (sans doute..), soit le Marquis de Sade, ou encore, à la recherche du temps perdu de Marcel Proust..qui sait ?..
Pour..
A la recherche du temps perdu..
À la recherche du temps perdu, couramment évoqué plus simplement sous le titre La Recherche, est un roman de Marcel Proust, écrit de 1906 à 1922 et publié de 1913 à 1927 en sept tomes, dont les trois derniers parurent après la mort de l’auteur. Plutôt que le récit d'une séquence déterminée d'événements, cette œuvre s'intéresse non pas aux souvenirs du narrateur mais à une réflexion psychologique sur la littérature, sur la mémoire et sur le temps. Cependant, comme le souligne Jean-Yves Tadié dans Proust et le roman, tous ces éléments épars se découvrent reliés les uns aux autres quand, à travers toutes ses expériences négatives ou positives, le narrateur (qui est aussi le héros du roman), découvre le sens de la vie dans l'art et la littérature au dernier tome.
À la recherche du temps perdu est parfois considéré comme l'un des meilleurs livres de tous les temps.
Pour le marquis de Sade..
Donatien Alphonse François de Sade, né le 2 juin 1740 à Paris et mort le 2 décembre 1814 à Charenton-Saint-Maurice (Seine, aujourd'hui Saint-Maurice dans le Val-de-Marne), est unhomme de lettres, romancier, philosophe, longtemps voué à l'anathème en raison de la part accordée dans son œuvre à l'érotisme et à la pornographie, associés à des actes de violence et de cruauté (tortures, incestes, viols, pédophilie, meurtres, etc.). L'expression d'un athéisme anticlérical virulent est l'un des thèmes les plus récurrents de ses écrits.
Détenu sous tous les régimes politiques (monarchie, République, Consulat, Empire), il est resté enfermé — sur plusieurs périodes, pour des raisons et dans des conditions fort diverses — pendant vingt-sept ans sur les soixante-quatorze années que dura sa vie. Lui-même, en passionné de théâtre, écrit : « Les entractes de ma vie ont été trop longs ». Il meurt à l'asile d'aliénés de Charenton.
De son vivant, les titres de « marquis de Sade » et de « comte de Sade » lui ont été alternativement attribués, mais il est plus connu par la postérité sous son titre de naissance de marquis. Dès la fin du XIXe siècle, il est surnommé le Divin Marquis, en référence au « divin Arétin », premier auteur érotique des temps modernes (XVIe siècle).
Occultée et clandestine pendant le XIXe siècle, son œuvre littéraire est réhabilitée au début du XXe siècle par Apollinaire et les surréalistes mais toujours interdite. Jean-Jacques Pauvert est le premier éditeur à braver la censure en publiant sous son nom ses œuvres. Poursuivi en 1956 pour outrage aux mœurs, défendu par maître Maurice Garçon, il est condamné, mais relaxé en appel en 1958. La dernière étape vers la reconnaissance est sans doute représentée par l’entrée de Sade dans la bibliothèque de la Pléiade en 1990.
Son nom est passé à la postérité sous forme de substantif. Dès 1834, le néologisme « sadisme », qui fait référence aux actes de cruauté décrits dans ses œuvres, figure dans un dictionnaire ; le mot finit par être transposé dans diverses langues.
Il y a eu..
Les Cent vingt journées de Sodome..
Les Cent Vingt Journées de Sodome, ou l'École du libertinage est la première grande œuvre du marquis de Sade, écrite à la prison de la Bastille en 1785.
Telle qu’elle est, l’œuvre ne présente qu’une version inachevée, que l’auteur eût probablement poursuivie s’il ne l’avait perdue en 1789, à moins que, comme l'écrit Michel Delon, elle ne soit « inachevable », ne pouvant pas « montrer ce qui excède l'imagination ».
Dans son essai La Littérature et le Mal (publié en 1957), Georges Bataille considère que ce livre paroxystique nous place devant l'excès absolu, l'insupportable — ce qu'Annie Le Brun considèrera comme un « bloc d'abîme au milieu du paysage des Lumières », car son auteur « voulait l'impossible » : « l'imagination de Sade a porté au pire ce désordre et cet excès. Personne à moins de rester sourd n'achève les Cent Vingt Journées que malade : le plus malade est bien celui que cette lecture énerve sensuellement. Ces doigts tranchés, ces yeux, ces ongles arrachés, ces supplices où l'horreur morale aiguise la douleur, cette mère que la ruse et la terreur amènent à l'assassinat de son fils, ces cris, ce sang versé dans la puanteur, tout à la fin concourt à la nausée. Cela dépasse, étouffe, et donne à l'instar d'une douleur aiguë une émotion qui décompose — et qui tue. Comment a-t-il osé ? surtout comment dut-il ? Celui qui écrivait ces pages aberrantes le savait, il allait le plus loin qu'il est imaginable d'aller ».
Je ne vais pas me laisser aller jusque-là, laissant, et donnant libre cours aux gens de penser ce que je ne suis pas...
Justine ou les malheurs de la vertu..
Justine ou les Malheurs de la vertu est le premier ouvrage du marquis de Sade publié de son vivant, en 1791, un an après avoir été rendu à la liberté par la Révolution et l’abolition des lettres de cachet. C’est aussi la deuxième version de cette œuvre emblématique, sans cesse récrite, qui a accompagné Sade tout au long de sa vie.
Il y avait également eu..
Histoire de Juliette, ou les prospérités du vice..
L’Histoire de Juliette, ou les Prospérités du vice est un roman du marquis de Sade, publié en 1797.
L’Histoire de Juliette, ou les Prospérités du vice fait suite à la publication un an auparavant de La Nouvelle Justine ou les Malheurs de la vertu, Justine étant la sœur de Juliette. La publication, sans nom d’auteur, de ces deux ouvrages a valu à leur auteur son arrestation sur ordre par Napoléon et son incarcération sans procès à l’asile de Charenton durant les treize dernières années de sa vie.
Alors que, dans les Malheurs de la vertu, Justine n'obtient que des injustices et des sévices répétés, Juliette est au contraire une nymphomane et criminelle amorale dont les entreprises lui valent le succès et le bonheur.
Il y a, bien-sûr, les..100 illustrations érotiques, pour ceux qui rechercheraient du plaisir au travers d'images ou de simples illustrations relatant tout cela..
Je tiens à préciser toutefois, que je ne fais pas parti d'une quelconque forme de libertinage ou laisser aller, dans un sens ou l'autre, ni d'une forme de vertu, me concernant, et qui n'est plus à prendre...
Pour celles et ceux qui en "demanderaient" plus, ou en "voudraient" plus, je les "invite" à aller sur le blog suivant:
Les goûters de Clarissa..
http://gouters.canalblog.com/
Très bonne fin de journée encore à vous..Denis.Une série enchanteresse... La beauté de la lumière naturelle dialogue en finesse avec la beauté tout aussi naturelle de cette jeune femme, tout cela sous l'oeil complice et talentueux d'une magicienne de l'image. J'en ronronne de plaisir !
Comment choisir, elles sont toutes si réussies. J'ai peut-être une très légère préférence pour la deuxième, au "charme soft" particulièrement subtil et dont les couleurs s'harmonisent avec une grande délicatesse.
Que lit-elle ? Lit-elle vraiment ou est-elle perdue dans ses pensées ? Ou dans une longue rêverie ? Je ne sais pas et je préfère lui laisser sa part de mystère. Le mystère, cela lui sied à merveille, non ?Une fois de plus c'est évidemment une très belle série.
Je suis allé voir sur Instagram (enfin ce qui est accessible quand on n'a pas de compte) et bien je trouve que toi tu valorises beaucoup mieux ce modèle que ce que j'ai vu là-bas…
c'est plus chaleureux ici, chaud et humain, et vraiment très beau.
Et bon travail avant la canicule !De l'ombre à la lumière..un défi audacieux..dernier petit rajout.
Bonjour.
Je me permets de revenir une dernière fois ici et pour cet article mis.
Je ne viens pas pour me justifier, mais au sujet de mon deuxième commentaire mis, et surtout concernant le lien pour ce blog un peu particulier que j'avais mis.
Les goûters de Clarissa..
Je ne suis allé qu'une seule fois, en tout et pour tout, sur ce blog, et il y a fort longtemps..en..2006..
En ouvrant la page d'accueil de la plateforme "canalblog", comme pour tout le monde, je suis tombé, par hasard, dans la partie centrale avec..Derniers blogs mis à jour, sur une photo (icône) d'un tableau, et qui m'avais interpellé..
Aussi, j'ai ouvert le lien correspondant..
Le titre de l'article était: Premier rendez-vous.
J'étais passé par hasard, en somme, et j'y ai mis deux commentaires..
On pourra aisément y lire et parcourir mes dires et points de vue là-dessus..
Je ne suis ni un "playboy", ni un "Hidalgo" (encore moins une bête de sexe..non plus..), mais ce que je sais, et sur l'amour, je peux, non pas le développer, mais m'exprimer aisément là-dessus, sans vulgarité, et pour ce que l'on en sait, dans la réalité, mais surtout pour cette petite précision apportée, qui est la réalité..voilà tout.
Ci-dessous, le lien pour cet article évoqué et pour mes commentaires mis là-dessus..
http://gouters.canalblog.com/archives/2016/03/02/33453505.html
Très bonne journée à vous, respectueusement..Denis.
Coucou breton
Bonjour Pastelle
Toutes tes photos sont belles
La première la deuxième la dernière
Et toutes les autres
Belle soirée
Bises et Quya miaoune tes félins