30 octobre 2010
L'escalier en prison
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La photo a été prise à Lyon Saint Jean, encore une fois.
Dommage, je n'ai pas pu le regarder de plus près, cet escalier...
Et pourtant, qu'il est intrigant... Où va t'il ? Pourquoi ces trous ?
Pas pu toucher. Pas pu passer la main dans toutes ces ouvertures.
Une torture pour une curieuse...
L'escalier en prison, et moi aussi. :)
Je me demande ce que j'aurais trouvé...
Vous avez une idée ?
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Commentaires
des trous !
Pas facile ta colle sur les contremarches percées !
La seule idée tordue, cela va de soi, qui me soit venue, est que les pierres qui ont servi à la construction de cet escalier soient issues d'un ancien pigeonnier.
A une époque, il était très fréquent de récupérer les pierres d'une ancienne construction pour en bâtir une nouvelle. Dans cette veine, tu peux remarquer dans le marais de magnifiques stèles dans les murs des habitations qui ont été récupérées lors de la destruction de l'abbaye ...Une propriété privée peut-être car il y en a, paraît-il, de très belles dans ce quartier!!! Mais les petits trous sous les marches... Quel utilité??? Je n'avais jamais vu (ou fait attention).
J'ai vu ta proposition pour demain mais hélas je ne serai pas encore rentrée de mon Ardèche... Cela aurait été avec plaisir! Merci beaucoup pour ta proposition.Superbe photo, et quel coup d'oeil! Je n'ai jamais remarqué cela lors de mes promenades à Saint Jen... Je vais ouvrir l'oeil, désormais! Peut-être est-ce une ré-utilisation de pierres qui supportaient des poutres (ça me fait fortememnt penser aux trous de boulins qu'on voit notamment dans les églises) ou comme dit dans un commentaire précédent, une réutilisation d'un pigeonnier... Dans tous les cas, je partirais sur une réutilisation, mais je suis loin d'être une pro!
On dirait le même que celui que tu avais pris dans tes premières pages de blog...D'ailleurs, lors notre week end à Lyon, on en avait vu un aussi...quartier St Jean, dans...je n'sais plus l'nom...un de ces ptits passages qui traversent des bâtiments...où il y a des cours intérieures.(?)...bref...j'adore les escaliers aussi!Et c'est encore une bien belle photo que tu ns montres là
à partir de la 9ème marche il n'y a plus de trous ...peut-être est-ce tout simplement pour éclairer et aérer le dessous de la cage d'escalier qui est
? un local fermé comme une sorte de cagibi ?
? un autre escalier descendant ?
En tout cas ce n'est pas le poinçonneur des Lilas qui a fait ça !!!
Ta photo est très belle, j'aime beaucoup les coloris assez chaudsPastelle, poses-tu vraiment la question ?
J'ai appris ça lors d'une visite du quartier Saint-Georges
Ces encoches dans les murs (ce ne sont pas des trous) étaient faites pour l'éclairage, pour y mettre des bougies, avant que la fée électricité invente le fil et l'interrupteur !
Quelle photo magnifique !
Quel est votre secret de ces grandes photos ?
Chez Canalblog, mes photos sont réduites...
Je n'ai pas eu le courage d'aller découvrir la Zombie Pride, avec la pluie...
BisousImagination
Merci de tous vos commentaires et de votre imagination. J'ai bien aimé l'évacuation du sang et rêvé sur les micro bouteilles de côte de Rhône.... Sans parler des cachots sous l'escalier. Et tous vos délires, pratiques ou philosophiques...
Merci à Plume d'avoir donné la bonne réponse. Je ne le savais pas, non. C'est quand même bizarre, ça veut dire qu'au bout de 9 marches on peut se casser la figure ?
Oui, Bizzie, la photo est prise dans une traboule, le passage est à gauche pour aller d'une rue à l'autre, et l'escalier est privé.
Il va vraiment falloir que je fasse une visite guidée de toutes ces traboules un de ces jours, pour pouvoir vous raconter des choses sérieuses, un peu...
NB : Grandes photos à cause du mode avancé... Répondu en privé Plume, je t'aide quand tu veux.Escalier à vis
Tout d'abord, je te félicite et t'encourage à continuer avec nous tous. Ton succès n'est pas le fruit d'un parcours solitaire, mais bien celui d'un coeur tourné vers les autres. Encore une fois, je t'en remercie...
J'ai l'idée que les trous dans les marches cessent pour reprendre un peu plus haut et ainsi de suite surtout à chaque fois que l'escalier ouvre sur le vide de la cour. Comme quoi à l'époque, ils avaient déjà le souci de l'économie. Il semblerait que deux sources lumineuses éloignées l'une de l'autre se rejoignent par leur lumière ; et l'addition de leur lumière éclaire l'ombre qui les sépare aussi bien qu'à leur endroit.
Toutefois, cela n'est qu'une hypothèse...
Bonne route @ toi, Pastelle!
Intrigant cet escalier, mais ça donne une belle photo !
Bonne journée Pastelle